Nouveaux vaccins contre l’héroïne à la morphine
Résumé
La toxicomanie est l’un des problèmes de santé les plus importants au monde. Cette pathologie entraîne la mort d’environ 500 000 personnes par an dans le monde. Malgré ce scénario, le développement de pharmacothérapies efficaces contre cette maladie a été lent et pas très réussi. Ces dernières années, de nouvelles stratégies pharmacologiques alternatives contre la toxicomanie ont été conçues et validées. Parmi eux, les vaccins et leur utilisation dans les procédures pharmacologiques immunothérapeutiques pour le traitement des comportements addictifs, tant chez les modèles animaux que chez l’homme.
Ces nouvelles stratégies expérimentales sont basées sur la conception et la synthèse de diverses formulations structurelles de vaccins thérapeutiques contre les médicaments d’abus. Lorsque ces vaccins sont administrés dans des calendriers de vaccination active, ils induisent la production d’anticorps sériques spécifiques, qui reconnaissent et lient ces substances dans l’espace intravasculaire systémique et empêchent la perméabilité du médicament par la barrière hémato-encéphalique, ce qui entraîne une diminution des effets des médicaments dans le cerveau.
En 2006, notre groupe de recherche à l’Institut national de psychiatrie Ramon de la Fuente Muiz (INPRFM, en espagnol) a réalisé et consolidé la conception, la synthèse, l’application et la validation des effets thérapeutiques immunoprotecteurs contre la rechute à la dépendance à la morphine/héroïne dans un modèle animal de rongeur, un vaccin modèle pour l’utilisation humaine potentielle contre la dépendance à ces substances. Ce modèle montre les capacités immunogènes (titulaires élevés et soutenus d’anticorps très spécifiques) et l’immunoprotection (atténue l’effet jusqu’à 15 mg/kg de morphine) que les modèles de vaccins structurels concurrents n’ont pas égalé. Cela en fait le modèle de vaccin de premier plan contre les effets addictifs de l’héroïne et de la morphine.
Resumen
La adiccion a una droga de abuso representa uno de los problemas sanitarios m’s importantes ya que esta patologàa genera la muerte de cerca de 500 000 sujetos anualmente en el mundo. Un pesar de este panorama, el desarrollo de terapias farmacol-gicas efectivas contra esta enfermedad es lento y poco exitoso. En los 'lltimos a’os se han dise’ado y validado nuevas estrategàas farmacolâgicas alternativas contra la adiccion a drogas de abuso, como las vacunas y su uso en procedimientos farmacol-gicos inmunoterapéuticos para el tratamiento de esas conductas tanto en modelos de animales como en el humano.
Estas nuevas estrategias experimentales eston basadas en el diseo y s’ntesis de diversas formulaciones estructurales de vacunas terapéuticas contra las sustancias de abuso las cuales, al ser dosificadas en esquemas de inmunizacion activa, inducen la produccion de anticuerpos séricos espec’ficos que reconocen y se unn a estas sustancias en el espacio intravascular sistémico e impiden que crucen la barrera hematoencéfalica, con lo cual disminyen sus ebros en el cere.
En el ao 2006 nuestro grupo de trabajo en el Instituto Nacional de Psiquiatràa Ramon de la Fuente Musiz (INPRFM) logro y consolido el diseo, s’lntesis, aplicacion y validacion de efectos terapéuticos inmunoprotectores contra recaâdas al consumo adictivo de morfina-heroa, en un modelo animal con roedores y su escalamiento potencial para uso humano contra la adiccion a esas sustancias. Este modelo muestra capacidades inmunogénicas (tàtulos altos y sostenidos de anticuerpos altamente especàficos) y de inmunoproteccion (atena el efecto de hasta 15mg-Kg sc de morfina) que los modelos estructurales de vacuna desarrollados por otros grupos de investigadores no han podido igualar. Esto lo convierte en un modelo l’der de vacuna contra los efectos adictivos de la hero’an y morfina.