Une « alliance thérapeutique », c’est-à-dire une relation positive et confiante entre le conseiller et le patient, pourrait être la clé d’un traitement efficace de la dépendance à l’alcool, selon une nouvelle étude. Les patients qui ont signalé une relation plus positive avec leur conseiller ont consommé moins de boissons et se sont livrés à moins de jours de consommation excessive d’alcool entre les séances de counseling que ceux dont la relation était moins positive.

L’auteur principal de l’étude affirme que des recherches plus poussées sur les facteurs qui contribuent à de solides alliances thérapeutiques pendant le traitement de la dépendance à l’alcool sont justifiées. Le point de vue orthodoxe concernant les processus les plus efficaces pour traiter la dépendance à l’alcool suggère que les conseillers devraient confronter leurs patients au sujet de leur consommation et de leurs comportements. Cette nouvelle constatation indique toutefois que le contraire peut, en fait, être vrai montrant que des relations plus positives donnent de meilleurs résultats.

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