Association of Prenatal Alcohol Exposure and Offspring Depression: A Negative Control Analysis of Maternal and Partner Consumption

Format
Scientific article
Publication Date
Published by / Citation
Easey, K. E., Timpson, N. J., & Munafò, M. R. Association of Prenatal Alcohol Exposure and Offspring Depression: A Negative Control Analysis of Maternal and Partner Consumption. Alcoholism: Clinical and Experimental Research.
Original Language

Anglais

Country
Royaume-Uni
Keywords
alcohol
pregnancy
in utero
in utero exposure
prenatal

Association of Prenatal Alcohol Exposure and Offspring Depression: A Negative Control Analysis of Maternal and Partner Consumption

Abstrait

Fond

Des recherches antérieures ont suggéré que l’exposition intra-utérine à l’alcool est associée à une variété de résultats indésirables chez la progéniture. Cependant, peu d’études ont étudié son association avec les désordres d’intériorisation de progéniture à la fin de l’adolescence.

Méthodes

À l’aide des données de l’étude longitudinale Avon sur les parents et les enfants (ALSPAC), nous avons étudié les associations de consommation d’alcool maternel pendant la grossesse avec la dépression de la progéniture à l’âge de 18 et 24 ans(n - 13 480). Nous avons également examiné la consommation d’alcool de partenaire comme contrôle négatif pour l’exposition intra-utérine pour la comparaison.

Résultats

La progéniture de mères qui consommaient de l’alcool à 18 semaines de gestation entait à risque accru d’avoir un diagnostic de dépression (modèle entièrement ajusté : OU 1,17, IC 1,02% à 1,34), mais il n’y avait aucune preuve claire d’association entre la consommation d’alcool des partenaires à 18 semaines de gestation pendant la grossesse et un risque accru de dépression de la progéniture (modèle entièrement ajusté: OU 0,87, IC 95% 0,74 à 1,01). Les tests de postetimation ont révélé une différence positive entre l’association de la consommation d’alcool maternel et partenaire sur la dépression chez les enfants, montrant une association plus forte pour la consommation d’alcool chez les mères que la consommation d’alcool avec partenaire (OR 1,41, IC 1,07 à 1,84).

Conclusions

La consommation d’alcool maternel pendant la grossesse était associée à un risque accru de dépression de la progéniture à l’âge de 18 ans. La confusion résiduelle peut expliquer cette association, mais la comparaison négative du contrôle de la consommation paternelle fournit une preuve qu’elle peut être causale, ce qui justifie une enquête plus approfondie.

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